Et si en 2020 nous limitions notre pollution numérique ?

Ça y est, nous sommes en 2020, au début d'une nouvelle décennie. Souhaitons une belle et merveilleuse année 2020 à notre planète, la pauvre (#australie)...

 

Et bien voilà nous y sommes presque !

 

Sur la photo, c’est bien moi, depuis le temps que je vous en parle… Petit fils de viticulteur, c’est à la terre que je dois tout, je lui devais bien ça en retour. Je me souviens de mon grand-père qui produisait un vin honorable et se nourrissait d’une agriculture autarcique raisonnée loin des lobbies agricoles déjà en place.
Paysan du digital, je me présente souvent comme un webculteur et graphiculteur, plus que des néologismes, ces expressions ont pour moi un sens plus profond. Issu d’une génération qui a connu l’essor de la Grande Distribution, la poursuite effrénée du productivisme multi-secteur, un désintérêt pour nos campagnes et le bon sens paysan.
Aujourd’hui, mature, il est normal pour moi d’agir à ma manière afin de limiter nos nuisances. Nos enfants ‘EUX’ se rebellent, ne veulent plus subir… Arrêtons de nous indigner, révoltons-nous à notre tour, il est grand temps !
Acteur du digital, longtemps acteur contributeur du réchauffement climatique, je vous propose mon expertise pour vous aider à communiquer AUTREMENT.
C’est cela que je vous propose avec Webbio, une conversion digitale éco-citoyenne pleine de bon sens afin de limiter la pollution numérique

 

 

La pollution numérique, qu’est ce que c’est ?

 

- « Si Internet était un pays, il serait le 6ème plus gros consommateur d’énergie... »

 

Cette phrase à elle seule résume l’énorme appétit en énergie du web et de notre mode d’utilisation. Un réapprentissage de bonnes pratiques s’avère nécessaire, c’est urgent !

Comment lutter ?
- Limiter l’envoi de mails intempestifs non réfléchis…
- Limiter les campagnes e-mailing (80% des envois ne sont jamais ouverts)
- Supprimer 30 e-mails inutiles par jour (équivaut à la consommation d’une ampoules pendant 24h...)
- Revenons au bon vieux disc dur et évitons le stockage sur des clouds. Des formats Pocket à fortes capacités existent…
- Utilisons des moteurs de recherches à compensation carbone (Ecosia par exemple…)
- Réapprenons à nous parler, comme avant…

 

Les pistes d’améliorations sont nombreuses, et vous que faites-vous ?

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